« Les pensées bleues d’André Suarès », un essai de Bruno Geneste et Paul Sanda.

C’est souvent par le Voyage du Condottière que l’on découvre André Suarès de nos jours, parce que ce livre extraordinaire, un des plus fameux chefs-d’oeuvre immortels de la littérature occidentale, porte en lui toute la vérité de l’écrivain-poète, sa sensibilité tant extrême, son intransigeance à propos de ce qui est médiocre, son abnégation dans sa recherche de la perfection, et son obstination dans l’affirmation de sa liberté propre quoi qu’il advienne dans le monde profane.